Le Vaulmier n'est une commune indépendante que depuis 1839. Située dans l'arrondissement de Mauriac, elle fut rattaché d'abord à la sénéchaussée de Riom et au canton de Salers, puis depuis 2015 au canton de Riom-ès-Montagnes.
Avant 1839 Le Vaulmier faisait partie de la commune de Saint-Vincent (aujourd'hui Saint-Vincent-de-Salers), plus bas dans la vallée. Le nom du Vaulmier a varié suivant les siècles. En 1282 on l'écrivait Valmerys. En 1312, de Valmeriis. En 1418, le Valmiés. En 1443, le Valmiers; puis le Volmiers, ensuite Vauxmiers et enfin Vaulmier. On l'a quelquefois indiqué dans les actes du milieu du XVème siècle sous le nom de Château, sans autre désignation. En patois on dit lou Bamiès, par corruption du mot roman Valmietg, milieu de la vallée, dénomination parfaitement en rapport avec sa situation. Le Vaulmier était le siège d'une seigneurie très importante qui comprenait les communes du Falgoux, du Vaulmier, de Saint-Vincent sauf le village de Condamine, et plusieurs villages de la commune d'Anglards. Les seigneurs de Salers, de Leybros, de Valens et l'abbé de Vallette faisaient hommage au seigneur du Vaulmier pour différents fiefs qu'ils tenaient de lui. Il nommait pour rendre justice un bailli, un juge, un lieutenant. Les appels du juge étaient relevés devant le bailli. Il en était de même des appels des juges des vassaux, le seigeur du Vaulmier ayant le droit de ressort sur les fiefs qui se trouvaient dans sa mouvance. Le Vaulmier était une baronnie possédée par la famille Comtour, seigneurs d'Apchon jusqu'au XIIIème siècle. En 1279 l'évêque de Clermont Guy de la Tour, consacra la chapelle du Vaulmier, sur demande de Guillaume Comtour d'Apchon. Cette chapelle fut visitée en 1298 par Jean Aycelin, évêque de Clermont, et aussi au XVIIIème siècle par l'évêque de Clermont Massillon. En 1282, un mardi après la fête de Saint-Hilaire, le seigneur d'Apchon Guillaume Comtour abandonne à l'évêque de Clermont, Guy de Latour, tous les droits qu'il a sur le Valrui (le Vaulmier). En contrepartie l'évêque abandonna à Guillaume Comtour ses droits le Falgos (Le Falgoux). Guillaume Comtour tenait en fief de l'évêque le château d'Apchon avec ses appartenances : le Valmeyrs (Le Vaulmier). Ce château existait donc au Vaulmier avec une chapelle attenante qui a été plus tard reconstruite en l'église actuelle, en 1853. Le château n'existe plus mais il existait encore en 1699, il était en effet mentionné cette année là dans l'aveu et dénombrement donné au roi par Louis d'Apchon. En 1288 Bernard d'Allanche fit hommage à l'évêque de Clermont pour sa part du château du Vaulmier. Les inventaires des titres d'Apchon révèlent que Hugues Guillelmi (Deguillem) d'Anglars vendit à la fin du XIIIème siècle à Guillaume d'Apchon la troisième partie du château et de la châtellenie du Vaulmier. Lors de la Guerre de Cent Ans (1337-1453), le château du Vaulmier subit les assauts des anglais. C'est après la bataille de Poitiers le 19 semptembre 1356 que les anglais ont commencé à dévaster l'Auvergne. Vers l'année 1369 ils démantelèrent les tours de Biorc (Barriac-les-Bosquets), du Fayet (Trizac), de Montclar, d'Arches, de Claviers et Saint-Christophe, le château de Miremont, et le Vaulmier, sans compter les faubourgs de Mauriac. Guy comptor d'Apchon, seigneur des Vaumiers et de Saint-Vincent, fils héritier de Guillaume d'Apchon, s'était marié avec Gaillarde de Latour fille de Bernard VIII de Latour. Guy devint par sa femme seigneur des Néchers, de Biosat, de Vernols etc. Sous Philippe-de-Valois il fit les guerres de Flandre, combattit vaillamment l'invasion anglaise, et fut l'un des généraux qui lui opposèrent les plus courageux efforts. De 1339 à 1370 on le voit toujours guerroyant contre l'ennmi de la France. A partir du début du XIVème siècle la maison d'Apchon posséda l'entière seigneurie du Vaulmier. Elle passa ensuite par mariage dans la maison de Chabannes en 1708. En 1783 elle appartenanait au marquis de Ferrière de Sauveboeuf, auquel M. de Chabannes l'avait vendue. Lors de la tenue des Grands-Jours, les habitants de la paroisse de Saint-Vincent se plaignirent de ce que Jacques Arthaud d'Apchon, leur seigneur, leur avait extorqué une somme de deux mille livres pour l'extinction de droits qui ne lui étaient pas dus. Sur cette plainte, il intervint, le 30 janvier 1666, un arrêt qui condamna le comte d'Apchon "à aumosner au pain des prisonniers la somme de deux mille quatre cents livres parisis en quatre mille huit cents livres parisis de restitution envers les habitants du comté d'Apchon, qui sera mise entre les mains du lieutenant criminel de Riom, pour estre par lui distribuée, scavoir : - la somme de 1032 livres aux habitants du Falgoux, - 2000 livres aux habitants du Vaulmiers, - et le surplus sera employé au paiement des tailles du village d'Apchon, en l'acquit des habitants dudit lieu, casse et annulle les transactions faites en l'année 1652 entre ledit d'Apchon et lesdits habitants, et, en conséquence, les a déchargés des droits de boades, vinades et courvées portées par icelles." (copie de l'arrêt d'une écriture du XVIIème siècle). Cet arrêt reçut une prompte exécution. Dès le 19 février 1655, M. Chabre, lieutenant criminel à la sénéchaussée de Riom, commis par les Grands-Jours, ordonnait la convocation des habitants de la terre du Vaulmier, à l'effet de donner leur consentement à ce que la somme de 2000 livres de restitution qui leur avait été allouée fût employées à acquitter leurs impôts. Par un acte reçu le 13 mars 1666, Vidal, notaire, les habitants du village de Joncoux, paroisse d'Anglars, qui faisait partie de la seigneurie du Vaulmier, consentirent à l'emploi proposé par le commissaire des Grands-Jours. La famille du Fayet de la Tour, nobles de Saint-Vincent a pris son origine au terrier du Vaulmier en 1402 où Noble Géraud du Fayet de la Borie, écuyer, fut témoin d'une reconnaissance. Il acquit en 1422 le fief et le château de Fournols en traitant avec Guy de Montclar. Après cette date la branche aînée de sa descendance subsistera à Saint-Vincent dans le château de la Tour construit par ce Géraud du Fayet de la Borie, sous le nom du Fayet de la Tour. A remarquer aussi que le château de Chanterelles, village de Saint-Vincent, était autrefois un ancien fief relevant aussi de la baronnie du Vaulmier. Des carrières de meules blanches sont citée en 1824 dans le dictionnaire Déribier du Châtelet au Vaulmier et au village de Bancharel. Source : Dictionnaire statistique du département du Cantal de M. Déribier du Châtelet, édition de 1855 Bibliothèque impériale, manuscrits de Baluze, armoire III, paquet 1er. © Guillaume Lafarge 2020 Histoire de la scission communale de Saint-Vincent et du Vaulmier Le 23 novembre 1831 se déroula à Saint-Vincent, l’élection du conseil municipal de la commune. A cette époque, maire et adjoint étaient désignés par le préfet, et seuls les conseillers étaient élus. Le procès-verbal de cette élection n’ignore rien des détails. Ainsi, ne peuvent être élus que les citoyens inscrits sur la liste des électeurs de la commune, et âgés de 25 ans au moins. « Au fur et à mesure que son nom est prononcé, chaque électeur se présente, reçoit de Monsieur le Président un bulletin ouvert, et prête le serment suivant : Je jure fidélité au roi des français, obéissance à la charte constitutionnelle et aux lois du royaume. Puis il écrit, ou fait écrire son bulletin sur la table en avant du bureau, et le remet plié au président, qui le dépose dans la boîte destinée à cet usage ». Le nombre des votants fut de 97. Il faut se rappeler qu’à cette époque, seuls votaient les hommes de plus de 21 ans. La liste des élus, et leur lieu de résidence, peut expliquer ce qui allait se passer dans les cinq années à venir. Le maire Georges Dolivier habitait le hameau de Roche, et l’adjoint, notaire royal, Jean-Baptiste Lafarge résidait à Broussouze. Mais sur les dix autres élus, quatre habitaient Le Vaulmier, deux Lespinasse, et les hameaux du Bancharel, d’Orfaguet, de Gromont et du Meynial avaient un représentant. Donc, le bourg de Saint-Vincent n’avait aucun élu ! Le 27 avril 1832, le maire étant absent, l’adjoint fait voter cette requête : « Sa majesté Louis Philippe Premier, roi des français, est très respectueusement supplié par le conseil municipal de Saint-Vincent, d’ériger en chapelle vicariale l’église dite du Vaulmier pour le haut quartier de la Commune ». De l’exposé des motifs, on ne peut s’empêcher d’extraire ce texte qui reproduit intégralement (fautes d’orthographe et de français y comprises) : « Le Vaulmier se trouve dans un endroit de passage très fréquenté, grand nombre de voyageur cy arrêtent le dimanche, pour y entendre la messe, tous les vachés et patres de 23 burons dépendant du Vaulmier peuvent y entendre la messe sans difficulté, ce qui leur serait impossible s’ils étaient obligée d’aller partout ailleurs... Une partie des familles se rendant à la première messe, ne pourront être de retour pour envoyer les surplus de la famille à la seconde, ce qui necessiterait alors de fermer leur maison, les abandonner et les exposer à toute espèce de danger indépandement de labandon des enfants de bas age ». A cette époque, le quartier haut représentait une population de plus de 700 âmes. Depuis 1830, l’évêque avait nommé au Vaulmier un vicaire, l’abbé Lacombe, et les habitants de la section du haut avaient entrepris de « faire à leur église non seulement un mettre autel, mais encore une infinité de réparations urgentes pour la célébration du culte, achat d’une cantité d’ornement et pourvoir au traitement et logement du siegeant et construire et murer un cimetière et une sacristie pour serrer les vase sacrés et un clocher par lequel on a suspendu par des poutres travaillées les cloches ». Tout ceci pour la somme de 500 francs. Le conseil du 6 septembre 1832 décide à la majorité absolue de faire supporter à l’ensemble des contribuables de la commune cette dépense, chaque quartier en assumant la moitié. Les plus fort imposés de Saint-Vincent se retirèrent, sans vouloir signer la délibération. On se trouve dans une situation propre à générer des conflits. En effet, le conseil municipal est composé à majorité de membres de quartier du Vaulmier, mais quand il faut décider des dépenses de la commune, lui sont adjoints les « plus fort imposés », et la majorité se retourne ! Faut-il rappeler que la séparation de l’Eglise et de l’Etat est loin d’être réalisée, et que la commune doit une allocation au servant du culte, le loger, et lui fournir un jardin. Et Saint-Vincent se trouve ainsi avec deux paroisses, deux vicaires, et deux presbytères à entretenir. Le 8 septembre 1833 est admis le fait que les habitants du Vaulmier soient affranchis de toutes les contributions concernant la paroisse de Saint-Vincent. Puis le 10 mars 1834, un début de séparation administrative se fait jour, avec la nomination de l’adjoint Jean-Baptiste Lafarge, notaire à Broussouze comme officier de l’état civil pour la section haute. Et en conséquence, le 10 mai 1834, un arrêté du préfet fixe les limites des deux sections (qui sont celles actuelles des deux communes) en essayant d’égaliser le nombre des habitants (721 pour la section basse dite de Saint-Vincent et 715 pour celle haute dite du Vaulmier). Le conseil municipal est ensuite remanié, sur consigne du préfet, qui prescrit qu’un tirage au sort désigne la section qui aura sept conseillers, l’autre n’en ayant que six. Le 30 novembre 1834, la section basse, celle de Saint-Vincent a le malheur de perdre ce tirage au sort. La séance du 9 septembre 1836 devait consommer la rupture définitive. Un membre ayant exposé « qu’il serait bien temps et bien à propos de faire cesser l’état affligeant de discordance et de désunion qui règne depuis si longtemps entre les deux sections », le Conseil décidait par 7 voix contre 4, de la scission entre les deux sections, pour en faire deux communes séparées. Bien que les conseillers de la section du bas se soient prononcés en plusieurs occasions contre cette décision, ceux du haut la confirmèrent. Il fallut toutefois attendre le 7 mai 1839 pour que la scission soit réalisée, et que la commune de Saint-Vincent telle que nous la connaissons aujourd’hui, élise son premier conseil, dont Jean Baptiste du Fayet de La Tour fut le Maire. Ces deux communes ont aujourd’hui chacune moins d'une centaine d’habitants, un curé itinérant, et une messe à tour de rôle. Source : extrait de la Brochure éditée par "Les amis de Saint-Vincent" (1994) A la lecture des registres d'état civil du Vaulmier on constate cependant que ceux-ci ont commencé le 27 mars 1834 par un premier acte de décès, alors que les communes n'étaient pas encore séparées. Les actes étaient rédigés par Jean-Baptiste Lafarge, adjoint au maire de Saint-Vincent, qui deviendra le premier maire officiel du Vaulmier le 7 mai 1839. Le premier acte d'état civil signé officiellement par le premier maire du Vaulmier est daté du 19/07/1839. @ Guillaume Lafarge 2020 Lorsque la commune du Vaulmier fut fondée, la nouvelle municipalité créa le cimetière, un peu au-dessus du Bourg, vers 1840. Il fallut aussi tracer une route plus pratiquable pour relier le Vaulmier au Falgoux. Jean-Baptiste Lafarge voulait faire passer cette nouvelle route par le village de Broussouze, où il avait son étude notariale. Mais sa demande fut refusée, parce que les conditions naturelles n'y étaient pas du tout favorables. Source : témoignage de Daniel Chavaroche, 2022 |
Nom | Variantes | Type | 1824 | 1831 | 1846 | 1851 | 1856 | 1861 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 |
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La Saliège | La Saliège | Village | La Saliège | La Saliege | La Saliege | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | Saliège | - | Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège | La Saliège |
Gromont | Gromont Gromon Gramont Grommont | Village | Grommont | Gromond | Gromon | Gramont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont | Gromont |
Outre | Outres Outre Houtre | Village | Outre | Houtre | Outre | Outre | Outre | Outre | Outre | Outre | Outres | Outres | Outre | Outres | Outres | Outres | Outre | Outre | Outre | Outre |
Pré d'Outre | Pré d'Outre Oubos | Village | Oubos | - | - | - | - | Pré d'Outre | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
Las Costes | Las Costes Lascostes Lacoste Lascoste | Village | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | Lascostes | Lacoste | Lacoste | Lascoste | Lascostes | - | Las Costes | - |
Le Chambon | Le Chambon | Hameau | - | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon | Le Chambon |
Le Bourg | Le Bourg Le Vaulmier Volmiers | Village | Le Vaulmier | Volmiers | Vaulmier | Le Vaulmier | Le Bourg | Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier | Le Vaulmier |
La Sabie | La Sabie | Hameau | - | - | - | La Sabie | La Sabie | - | La Sabie | La Sabie | La Sabie | - | La Sabie | Sabie | La Sabie | La Sabie | La Sabie | La Sabie | La Sabie | - |
Malprengère | Malprengère Malleprangère Malleprengère | Village | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | Malleprangère | Malleprengère | - | Malprangère | Malprangère | Malprangère |
La Moréthie | La Moréthie Lamoretie La Moretie | Village | La Moretie | Lamoretie | La Morethie | La Moretie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Moréthie | La Morethie | La Moréthie | La Moréthie |
Le Cher | Le Cher | Hameau | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Le Cher | Cher | Le Cher | Cher | - | - | Le Cher | - | - | - |
La Rochenie haute | La Rochenie haute La Rochenie Larochenie La Rochinie | Hameau | La Rochenie | La Rochenie | Larochenie | La Rochinie | La Rochenie | La Rochenie | La Rochenie | La Rochenie | La Rochenie | Rochenie | Rochenie | Rochenie | La Rochenie | La Rochenie | La Rochenie Haute | La Rochenie Haute | La Rochenie Haute | La Rochenie |
La Rochenie basse | La Rochenie basse | Hameau | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | La Rochenie Basse | La Rochenie Basse | La Rochenie Basse | - |
Albos | Albos | Village | - | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos | Albos |
Lespinasse | Lespinasse L'Espinasse Espinasse | Village | L'Espinasse | Espinasse | Lespinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | Espinasse | Espinasse | Espinasse | Espinasse | Espinasse | Lespinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | L'Espinasse | Lespinasse |
Les Furgoux | Les Furgoux Le Furgoux Les Fourgoux Domaine des Frigoux | Hameau | - | Domaine du Frigoux Furgoux | Le Frugoux | Les Fourgoux | Les Furgoux | Les Furgoux | Le Furgoux | Le Furgoux | - | Furgoux | Furgoux | Furgoux | - | Le Furgoux | Le Furgoux | Le Furgoux | Le Furgoux | Le Furgoux |
Broussouze | Broussouze Broussouse Broussouzes | Village | - | Broussouse | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouze | Broussouzes | Broussouzes | Broussouze |
Lafarge | Lafarge | Hameau | - | - | Lafarge | - | - | Lafarge | Lafarge | Lafarge | Lafarge | Lafarge | Lafarge | Lafarge | - | Lafarge | Lafarge | - | - | - |
Le Meynial | Le Meynial Le Maynial | Hameau | - | Meynial | Meynial | Le Maynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Meynial | Meynial | Meynial | Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial | Le Meynial |
Les Caves | Les Caves | Village | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | Les Caves | Les Caves | Les Caves |
Estrumeyre | Estrumeyre Estremeyre | Hameau | - | - | - | Estremeyre | Estremeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | - | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre | Estrumeyre |
Espinouze | Espinouze Espinouse Despinouze | Village | Espinouse | Espinouse | Despinouze | - | Espinouse | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze | Espinouze |
Population du Vaulmier de 1839 à 2019
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Population du Vaulmier par village de 1831 à 1936
Source : registres de recensement de la population du Vaulmier. |
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Début | Fin | Durée | Maire | Portrait | Naissance | Décès | Commentaires |
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24/03/2014 | 2026 | 10 ans | Christian Fournier | 29/12/1949 | |||
17/03/2008 | 22/03/2014 | 6 ans | Michel Leblanc | 24/01/1936 | 12/10/2015 | ||
21/03/1977 | 16/03/2008 | 31 ans | Philippe Charpentier | 24/02/1930 | 28/12/2012 | Source de la photo : Sylvie Leblanc-Lemmet | |
22/03/1971 | 20/03/1977 | 6 ans | Géraud dit Jeannet Lemmet | 16/10/1924 | 02/07/2017 | Source de la photo : Sylvie Leblanc-Lemmet | |
04/05/1953 | 21/03/1971 | 18 ans | Félix Mathieu | 25/11/1895 | 15/09/1972 | Source de la photo : Sylvie Leblanc-Lemmet | |
14/05/1945 | 03/05/1953 | 8 ans | Abel Chambon | 22/03/1913 | 02/02/1998 | ||
13/05/1935 | 13/05/1945 | 10 ans | Antoine Mathieu | ||||
13/05/1929 | 12/05/1935 | 6 ans | Antonin Lavialle | Source de la photo : Sylvie Leblanc-Lemmet | |||
19/03/1899 | 12/05/1929 | 30 ans | Firmin Albessard | 27/09/1855 | 24/12/1931 | A inauguré le monument aux morts du Vaulmier le 16/09/1928 | |
01/01/1888 | 18/03/1899 | 11 ans | Barthélémy Dupuy | 18/04/1838 | 26/11/1917 | Docteur en médecine et en pharmacie. A fait construire la fontaine du Vaulmier en 1894. Voir sa biographie | |
07/10/1887 | 31/12/1887 | 3 mois | Antoine Albessard | 09/10/1819 | 18/12/1894 | Adjoint remplaçant | |
29/01/1878 | 07/10/1887 | 1 an | Antoine Lafarge | 19/09/1808 | 07/10/1887 | ||
26/05/1871 | 28/01/1878 | 7 ans | Antoine Albessard | 09/10/1819 | 18/12/1894 | ||
08/11/1870 | 25/05/1871 | 1 an | Firmin Lafarge | 09/12/1842 | 09/09/1888 | ||
16/09/1840 | 07/11/1870 | 30 ans | Antoine Chauvel | 09/07/1793 | 16/02/1875 | ||
07/05/1839 | 15/09/1840 | 1 an | Jean-Baptiste Lafarge | 13/02/1771 | 23/12/1844 | Notaire à Broussouze | |
27/03/1834 | 06/05/1839 | 5 ans | Jean-Baptiste Lafarge | 13/02/1771 | 23/12/1844 | Notaire à Broussouze, adjoint au maire de Saint-Vincent |
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Curé Jean Ribaire en 1901. J'ai extrait cette photo d'une photo de famille Lafarge prise au village de Broussouze en 1901. J'en ai déduit qu'il ne pouvait s'agir que de ce curé Jean Ribaire. Curé François Lesmarie en 1895. J'ai extrait cette photo d'un cliché du bourg du Vaulmier trouvé sur le site des archives départementales du Cantal, daté de 1895. J'en ai déduit qu'il ne pouvait s'agir que de ce curé François Lesmarie. |
Plan IGN du bourg, avec les villages de la Saliège, Gromont, le Chambon, Malprengère, la Moréthie. En bas la rivière du Mars et le Gour Noir (voir carte postale ci-après).
Cartes postales et photographies du Vaulmier Carte postale d'une vue aérienne du Vaulmier, avec au fond le sommet du volcan le Puy Mary Carte datée du 12/07/1971. On aperçoit le village de la Moréthie un peu plus loin sur la route. Le cimetière est en bas à gauche au premier plan. Carte postale d'une vue aérienne du Vaulmier, plus rapprochée, datée de 1968. On aperçoit la place au bord de la route, l'église, et plus loin le village de la Moréthie. Carte postale d'une vue aérienne du Vaulmier, de 1990. On aperçoit la place au premier plan au bord de la route, l'église. Un peu plus loin sur la route on peut voir le hameau de la Sabie, puis celui de Malprengère et enfin de la Moréthie. La mairie est le bâtiment parallèle à la route en sortie du bourg avec trois fenêtres à petits carreaux en bas sur le pignon, une cour et un préau perpendiculaire. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, datée du 13/07/1979. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, et les villages de la Sabie, Malprengère et la Moréthie, datée du 19/07/1980. Carte postale d'une vue aerienne générale du Vaulmier, datée de 1979. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, datée de 1905. On remarque le four à pain à droite de l'hôtel Chanut, qui est sur la place du Vaulmier. Ce four à pain a été démoli plus tard. Le cliché a été pris en hiver, et le dos est "non divisé" (pas de séparation verticale pour l'adresse). La poste bâtie en 1903, normalement à droite de l'hôtel Chanut dans cette vue, n'est pas présente. Donc la photo est datée d'avant 1903, probablement l'hiver 1902-1903. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, datée de 1905. On remarque qu'aucune maison n'est encore construite à droite de la route, la poste n'existe pas, créée entre 1903 et 1907. Le cliché est donc probablement de 1902. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, datée de 1908. On constate que la poste a été bâtie (en 1904), l'ancien four à pain est toujours présent mais pas le nouveau (à droite de la poste). Carte postale d'une vue générale du Vaulmier. Carte écrite de Broussouze le 28/09/1919 par Jeanne Borderie. On constate qu'un maison a été construite à gauche de la poste, alors qu'elle n'existait pas en 1910. La construction basse à droite de la poste en arrière est peut-être un four à pain, construit entre 1909 et 1919. Carte postale d'une vue générale du Vaulmier, vers 1919. Le nouveau four à pain est toujours présent. Carte postale Vue pittoresque du Vaulmier. Vue prise probablement depuis la Sabie, au bord de la rivère du Mars. Carte postale datée de 1920. On aperçoit un personnage sur la gauche. Carte postale du Vaulmier. Carte postale datée du 19/10/1910. Carte postale du Vaulmier, vue générale. Carte postale datée du 19/08/1947. Carte postale du Vaulmier, vue générale. Carte postale datée de 1947. Carte postale du Vaulmier. Carte postale datée du 08/08/1956 (même carte vue cachetée en 1950). Carte postale du Vaulmier. Carte postale datée du 21/08/1958. Carte postale du Vaulmier datée de 1917, la place avec la fontaine et beaucoup d'enfants. Cependant le cliché date d'avant 1912 car j'ai trouvé la même carte cachetée au 09/11/1911. Le four à pain à côté de la fontaine n'existe plus. Carte postale du Vaulmier, écrite en 1938. La place avec sa fontaine, construite en 1894 par le maire Barthélémy Dupuy. On remarque qu'un abreuvoir a été installé à côté de la fontaine. Dans l'alignement de la fontaine derrière le marronnier à gauche il s'agissait du bâtiment de la poste, construit en 1903. La maison à gauche de la poste a été construite entre 1911 et 1919, et fait office d'épicerie. La grande maison à droite a été édifiée vers 1925. Carte postale du Vaulmier, la fontaine et la poste. Derrière la poste à droite la construction est probablement un four à pain, construit entre 1911 et 1919. Un peu plus haut à droite on aperçoit le mur d'enceinte du cimetière. Derrière la fontaine se trouve la poste, construite en 1903, et la maison sur sa gauche construite entre 1910 et 1919, dont le rez-de-chaussée à droite est une épicerie, qui a duré jusqu'aux années 1980. La grande maison qui cacherait le four à pain n'existe pas encore, créée vers 1924. Cette carte est datée entre 1910 et 1923. Carte postale du Vaulmier, le haut du Couderc. Carte datée de 1913. Carte postale du Vaulmier, la poste à gauche (bâtie en 1903), l'école au milieu (bâtie en 1878) et la fontaine à droite (contruite en 1894). A côté de celle-ci une épicerie a subsisté jusqu'aux années 1980. Il faut remarquer aussi le four à pain derrière la fontaine, qui a été démoli entre 1908 et 1911. La carte est datée entre 1903 et 1911. Le monument aux morts a été créé plus tard en 1928. Carte postale du Vaulmier, l'école. Cette école a été construite en 1878. Un rapport de délibération du Conseil Général du Cantal du 25 avril 1879 révèle la requête du Vaulmier pour une subvention afin de construire une maison d'école. L'école sera donc agrandie en 1882. En 1878 l'école compte 35 garçons et 30 filles. Carte postale du Vaulmier datée de 1933, Le Monument aux morts et la mairie. Le monument aux morts a été inauguré le 16/09/1928. Carte postale du monument aux morts du Vaulmier. Ce monument aux morts a été inauguré le 16/09/1928 par le maire Firmin Albessard. La place et la route du Falgoux. L'église du Vaulmier L'église du Vaulmier a été construite en 1853 sous la direction de l'abbé Pierre Chambon, ancien curé de Souvigny et archéologue reconnu, en collaboration avec l'architecte M. Carriat. Elle est caractérisée par son clocher octogonal. La première pierre de l'église a été posée le 20/08/1853, et la réception définitive du clocher fut prononcée le 18/11/1861. Plus tard des travaux de reconstruction de la nef ont été réalisés par l’entreprise Chabrier Père & Fils selon les plans de l’architecte M. Lemaigre. Avant la construction de cette église existait un château depuis au moins 1494, possédé en 1540 par Artaud d'Apchon et plus tard par la maison de Chabannes, avec une chappelle attenante, reconstruite en cette église. Elle possède un reliquaire du XIIIème siècle déposé à Saint-Flour. Le saint titulaire de l'église est Saint Ferréol. source : dictionnaire statistique du département du Cantal, M. Déribier du Châtelet, édition de 1824..
Carte postale de l'église du Vaulmier. Carte datée de 1933. Carte postale vue d'ensemble du Vaulmier et l'église. Carte datée du 04/09/1936.
La place du Vaulmier, l'hôtel Ducher Chanut et l'église en 1892. On remarque que l'enseigne de l'hôtel est encore Ducher Chanut et non pas Chanut seul, et que les fenêtres n'ont pas encore de volets (voir clichés suivants). On voit clairement à l'horizon le sommet du Puy-Mary et celui du Puy de la Tourte. Plaque de verre de très bonne qualité des archives départmentales du Cantal. J'ai retraité le cliché pour éliminer les défauts et améliorer le rendu. Source : Archives départementales du Cantal, plaque de verre de 1892. La place du Vaulmier avec sa fontaine, l'hôtel Chanut, et l'église en 1895, et le four à pain derrière la fontaine, qui a été démoli peu de temps après. Une voiture à cheval attend devant l'hôtel. A côté de la fontaine se trouve une charrette, et un couple avec deux enfants. A l'horizon on devine le sommet du Puy-Mary et celui du Puy de la Tourte. On remarque la présence du curé du Vaulmier François Lesmaries avec un enfant au premier plan. Le curé s'appuie sur son parapluie et tient un chapeau dans sa main droite. Plaque de verre de très bonne qualité des archives départmentales du Cantal. J'ai retraité le cliché pour éliminer les défauts et améliorer le rendu. Source : Archives départementales du Cantal, plaque de verre de 1895. La place du Vaulmier avec sa fontaine, l'hôtel Chanut, et l'église en 1895, et le four à pain derrière la fontaine, qui a été démoli peu de temps après. A l'horizon on distingue le sommet du Puy-Mary. Plaque de verre de très bonne qualité des archives départmentales du Cantal. J'ai retraité le cliché pour éliminer les défauts et améliorer le rendu. Source : Archives départementales du Cantal, plaque de verre de 1895. La place du Vaulmier, l'hôtel Chanut et la fontaine, et l'autobus de la liason Le Falgoux - Mauriac, en 1925. On constate que la maison accollée à gauche de la maison de la place n'existe pas encore. La maison à deux étages était un cabaret, auparavant aussi une forge. Le café a plus tard été agrandi pour devenir un restaurant en activité jusqu'en 1995. Le véhicule est l'autocar de la ligne journalière Le Falgoux - Mauriac. Source : Archives départementales du Cantal, cliché Delprat 1925. L'autobus de la ligne Le Falgoux - Le Vaulmier - Saint-Vincent - Pons - Mauriac. Probablement dans les années 1930, car le véhicule semble plus récent que sur le cliché précédent : les roues sont pleines et non pas à rayons, les fenêtres plus nombreuses. Carte postale de la place du Vaulmier, l'hôtel Chanut, la fontaine et une procession religieuse. Carte postale de la place du Vaulmier, l'hôtel Chanut et la fontaine. Carte postale datée de 1925. Banquet à l'hôtel Chanut du Vaulmier, le mercredi 28 septembre 1898
Le Vaulmier. Mercredi, un superbe banquet était offert à l'hôtel Chanut à M. Fernand Brun, député, et à M. le docteur Guillaume, conseiller général. Notre excellent ami M. Charles Borderie, membre du comité directeur de la Ligue Auvergnate, secrétaire général de la chambre syndicale des vieux fers et métaux, président du comité socialiste de la Roquette, présidait cette fête démocratique. Au dessert, notre honorable compatriote, l'éminent savant M. Barthélémy Dupuy, maire du Vaulmier, a levé son verre au jeune et intelligent député qui, dit-il, est un travailleur opiniâtre et saura défendre les humbles et les dédhérités ; il porte également un toast à l'agriculture, au docteur Guillaume, le ferme républicain, et il termine au cri de : Vive la République ! M. Fernand Brun a fait l'éloge de MM. Dupuy et Borderie ; il s'est déclaré partisan du ministère Brisson, qu'il approuve par son attitude franche et énergique dans l'affaire Dreyfus. M. Guillaume a montré M. Barthélémy Dupuy tel qu'il est, homme de sciences, allant de découvertes en découvertes pour amélioration du sort de l'humanité. A côté de MM. Charles Borderie, Brun, Dupuy et Guillaume, avaient pris place quatre-vingts convives, dont le docteur Jarrige, de Trizac, MM. Borderie, maire du Vaulmier, Maisonneuve, de Saint-Vincent, Mathieu, Gauthier, Vizet, Sébastien Vergne, Lafarge père et fils de Broussouze (Antonin et Gustave Lafarge ndlr), Crozat, Farges, Lafarge de Mauriac, Reuny, etc. L'Auvergnat de Paris du 2 octobre 1898. Carte postale de la place du Vaulmier, l'hôtel Chanut volets fermés, et la fontaine et des poules se promenant. L'hôtel Chanut a une maison extension accolée sur la gauche. Ce bâtiment n'est plus ajourd'hui un hôtel, il était devenu ensuite l'Auberge du Mars mais qui a fermé depuis quelques années. Carte postale du Vaulmier, la place avec sa fontaine, l'hôtel Chanut et une automobile.Carte postale datée du 05/08/1952. Carte postale du Vaulmier, vue aérienne de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption. Source : archives départementales du Cantal. Carte postale du Vaulmier, vue générale. Carte postale cachetée au 12/07/1923. On remarque le four à pain à droite de la poste en hauteur. Carte postale du Vaulmier, vue générale. Carte postale cachetée au 28/08/1963. Carte postale du Vaulmier et la vallée du Falgoux. Carte datée entre 1911 et 1926. Photographie ancienne du Vaulmier, datée entre 1911 et 1926. Le Vaulmier, vue depuis la forge, 1896. Source : archives départementales du Cantal, plaque de verre.
Carte postale du Vaulmier, le village d'Albos. Carte datée de juillet 1905. Ce village se situe à environ 2km du bourg, plus haut dans la vallée, près des Furgoux et de Broussouze. Carte postale du Vaulmier, le village d'Albos, datée du 27/09/1921. Carte postale du Vaulmier, le village d'Espinouze. Carte datée du 02/08/1910, mais l'image est plus ancienne car j'ai aussi une autre carte identique datée du 22/08/1905. Carte postale du Vaulmier, les villages de Gromont et d'Outre. Carte datée de 1936. Carte postale du Vaulmier, le village d'Outre. Carte postale du Vaulmier, le village de la Sabie et le château de Malprangère. Carte postale datée du 25/10/1909. Carte postale du Vaulmier, le village de Larmandie. Carte postale du Vaulmier, le Château du Furgoux. Carte postale du Vaulmier, le Gourd Noir (voir le plan IGN ci-dessus pour sa localisation).
Photo d'une maison au Vaulmier, construite en 1766 (gravé sur le linteau). Cliché de 1967. Carte postale du Vaulmier, la Croix du Coucu. Carte postale de la Vallée du Falgoux, Roche et cascade d'Espinouze, datée de 1931. Carte postale du Vaulmier, à la fontaine Pigeat. Carte postale datée du 22/08/1934. Carte postale du Vaulmier,la Vailla Beau-Site, la Salle à Manger. Photo de famille Lafarge au Vaulmier en 1922. Pierre Lafarge était mon grand-père. On aperçoit l'église en arrière-plan Photo du Vaulmier prise en 2000. Carte postale du Vaulmier, la place avec sa fontaine et l'Auberge du Mars. Cette auberge est fermée depuis quelques années. Photo du Vaulmier prise en 2000, la place avec sa fontaine et l'Auberge du Mars qui était encore ouverte. On aperçoit ma grand-mère Janine Lafarge (née Jourdan) près de la fontaine. Carte postale de l'Auberge du Mars, vue de l'intérieur. Carte cachetée au 27/08/1994. Photo du Vaulmier prise en 2019, la place avec sa fontaine et l'Auberge du Mars qui est fermée. La fontaine du Vaulmier La fontaine du Vaulmier a été inaugurée le 25 juillet 1894 par le maire Barthélémy Dupuy. Celui-ci a financé de sa propre poche l'acquisition de la fontaine en bronze. L'acheminement de l'eau potable jusqu'au bourg du Vaulmier fut financée par une souscription des habitants, organisée par Charles Borderie en 1893. L'eau est potable, les sources étant d'ailleurs nombreuses dans cette région volcanique du Cantal. La fontaine est constituée de trois bassins. On peut remarquer les tortues qui peuvent cracher de l'eau et les plaques d'inscriptions. Photo de la fontaine du Vaulmier prise en août 2019. Inauguration de la fontaine du Vaulmier, le mercredi 25 juillet 1894 Mercredi, chez notre honorable ami, M. Dufayet, président de la société des vieux fers et métaux, avait lieu l'essai de la superbe fontaine qui vient d'être offerte à la commune du Vaulmier par son excellent maire, M. Barthélémy Dupuy. On sait que l'an dernier, M. Charles Borderie, dont le zèle patriotique est apprécié de tous, organisa une souscription (les noms des souscripteurs furent publiés par L'Auvergnat de Paris), à l'effet de conduire de l'eau potable au bourg du Vaulmier, qui en était à peu près totalement privé ; il recueillit à cet effet une somme importante. M. Barthélémy Dupuy, maire de la commune, a voulu rivaliser de générosité avec la colonie et il a acquis une fontaine en bronze, magnifique, qui sera sans doute la plus belle du département. On en a fait l'essai, mercredi, ainsi que nous venons de le dire, et l'on y a fait couler du bon vin de Limagne et aussi du champagne, ce qui lui arrivera encore, nous assure-t-on, à la prochaine Saint-Ferréol. Notre ami, M. Nièmaz a pris la photographie de la fontaine et celle des nombreux amis qui étaient venus la visiter. L'Auvergnat de Paris du 29 juillet 1894.
Le village de Broussouze Le village de Broussouze est un hameau de la commune du Vaulmier, situé un peu plus haut dans la vallée du Mars à 3km du bourg, et sur l'autre rive du Mars. On s'y rend en passant par les Furgoux. Voici une photo du village de Broussouze prise en 2019, depuis le col d'Aulac sur le plateau de Trizac qui donne une bonne vue sur le Vaulmier et la vallée du Mars. Voici une photo plus éloignée avec au premier plan au milieu le village d'Albos, et en arrière-plan sur le flanc de la montagne près des bois le village de Broussouze. A gauche un peu plus loin on distingue quelques maisons du hameau du Meynial. La maison des Lafarge à Broussouze où habitait Jean-Baptiste Lafarge (1771-1844), notaire puis premier maire du Vaulmier en 1839. Cette maison existe toujours mais le toit n'est plus en lauzes, elles ont été remplacées par des ardoises lors de sa rénovation. L'arbre devant la maison a été coupé. On peut retrouver cette maison sur la photo du village ci-dessus, la maison la plus haute en haut près des bois. A droite de la maison on aperçoit des escaliers et des rochers devant l'escalier montant vers la droite. Voici une photo de la famille Lafarge dans cette maison, datant d'environ 1892 où l'on retrouve l'escalier et le rocher. Voici une autre photo de la famille Lafarge dans la même maison au même endroit, datant de 1902 soit 10 ans plus tard. Mathilde Lafarge est positionnée au même endroit (mais adossée au mur) ! Mes arrière-grands-parents Gustave et Marthe Lafarge sont présents, ainsi que leur mère respectives. Vue de la valée du Mars vers Broussouze au Vaulmier, depuis le restaurant du Col d'Aulac. A gauche le Puy Mary. Le chalet du col d'Aulac (1228m). Restaurant - Spécialités du Pays. Entre Trizac et le Puy Mary. Carte postale datée de 1976. Le col d'Aulac et la vallée du Mars. Au loin, le Puy Mary (1787m). |